Ne dites jamais non au dépassement de votre être. Saviez vous qu’aux yeux des autres, vous qui avancez et qui foncez, devenez une référence, voir même un modèle. Depuis quand veut on se limiter à ressembler à quelqu’un qui ne monte jamais de pallier, qui s’entiens a ce qu’il sait, qui ne pose aucun acte délibéré pour s’améliorer ou pour sortir de sazone de confort et qui, surtout, ne se confronte jamais a lui-même?
Sachez que j’ai passé les 25 dernières années à sortir de ma zone de confort et àm’obliger à percevoir des vérités et des réalités difficiles à avaler. Une critique, même constructive, est toujours difficile à avaler, même si elle nous fait progresser. Elle nousoblige à remettre en question la recette utilisée. Est-ce que ça fait de vous un incapable? Non, ça fera de vous un champion. Le vrai champion ne croit pas en ses trophées ou en l’adulation des gens autour de lui. Il croit en lui, il croit en un cercle de gens sincères et très restreint autour de lui, lui permettant ainsi d’être ouvert et sévère envers lui-même, pour grandir, s’accomplir et réussir.
On n’est pas le meilleure quand on le sait, on est le meilleure quand on le croit.
Je ne connaissais pas, il y a 3 mois, les 6 règles spécifique d’Arnold Schwarzenegger et, sans le savoir, c’est exactement tout ce que j’ai toujours été, parfois difficiles, parfois innées, bref, mon désir de réussir était très analogue a ses propos :
Ayez confiance en vous !
Transgresser les règles ! (sortir de la zone de confort)
N'ayez pas peur d'échouer! (je revendique le droit a l’erreur)
Ne faites pas attention aux médisants! (soyez différents et faites votre chemin)
Suez sang et eau!!, ne laissez jamais rien inachevé! (Si vous voulez gagner, il n'y a pas d'autres moyens que de travailler durement.)
Redonnez aux autres!
Sur ce, bon training à tous!
À force d’y croire , au désespoir, de ne jamais voir le bout du tunnel le plus noir , je suis sorti de ma torpeur, de ma peur et de ma douleur. J’ai mordu la poussière et je me suis relevé sans regarder derrière, et c’est certainement amère de piller sur son orgueil lors que tu tourne de l’œil. C’est jamais facile de sentir l’effort annihiler ton corps , sans savoir si la récompense est aussi intense que l’acharnement que tu y dépense…
On ne peut pas savoir tout ça, si on essaie pas. On reste dans l’ignorance quand on ne s’impose pas une certaine cadence. Sentir le sang qui monte, la pression sur les articulations, la tension musculaire pointe son paroxysme lorsque tu prend le risque de pousser encore plus loin ton questionnement incertain et c’est certains qu’il faut être déchaîné pour en plus l’apprécier. Mais c’est notre sport et c’est par autant d’effort et d’acharnement que l’on deviens un conquérant. À ce que je sache je ne suis pas si atterré d’avoir autant forcé, je ne suis pas déçu d’avoir continué pour vous regardez en face et vous dire que j’ai vaincu.
Votre coach qui à embrayé la 3e gear et qui roule à fond de train sur les rails du feu sacré qui l’anime depuis des années.